K. a été tourmenté par l'écart entre sa vision du monde et la réalité.
Affligé d'autre part d'une déficience physique qui fait de lui la proie rêvée
des psychanalystes, il n'est jamais parvenu à trouver sa place ici-bas, ce
qui lui a fait écrire dans son Journal le jour même de son suicide :
« La vérité, c'est que sur cette terre rien ne peut me venir en aide. »



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