[…]
Toutes sortes de choses s'étaient accumulées
en lui et autour de lui, qui avaient fini par le ralentir,
puis par l'immobiliser. Ça n'étaient pas des objets,
ni des souvenirs précis, mais à la longue une sorte
d'obscurité, de pesanteur qui, sans l'arrêter tout à fait
ralentissait ses gestes, stoppait ses élans, voilait son regard.