Le nouvel an
Insouciante et mutine, Adélaïde chemine par les rues et les avenues, traverse la ville et bientôt déniche l'observatoire. Dans les feuillages esquisse une révérence tandis qu'aposté parmi les buissons un énigmatique quidam transmet un énigmatique message « le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat, je répète : le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat, je répète... »